Requiem for a prophecy
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Requiem for a prophecy

Forum RPG basé sur le dix-neuf ans plus tard de la saga Harry Potter
 
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 Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."

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Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." Empty
MessageSujet: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 14:13

Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." Darren-Criss-darren-criss-21042096-500-300


Pseudo (Prénom-Nom) : Léandre Ethan de
Landford

Age RPG :15 ans
Statut de sang (Sang pur-Sang mêlé- N é moldu) : Sang-mêlé
Maison : Serpentard
Baguette magique : 25 cm, bois de bouleau, un crin de Sombral femelle



_____Ton
Petit Brin
De Vie_____



[Bon, je tiens à
m’excusez car je m’attarde énormément sur les frasques de Catherine, et dévie
un peu du Contexte. Je me (un peu trop) fie à mon inspiration. Je vous
conseille donc de passer jusqu'à l'accouchement si vous être pressé.]


Léandre … Ethan … de Landford. Tant de
normalité pour une chose aussi immonde d’étrangeté. Du moins, c’était ainsi que
le ressentait l’alitée. Ces quelques mots, chargés de cette singulière envie de
voir une ombre indistincte à la place d’un visage, furent sans doute les
derniers que prononça consciemment Catherine Badb. Non, elle n’est pas « morte
» à proprement dit, mais les restes d’existence qui traîne encore dans sa
carcasse vide d’âme ne peuvent être considérés comme une vie, l’affront à cette
dernière serait trop grand. Mais, il vous faudra, chers lecteurs, quelques
lignes supplémentaires pour comprendre le sens de ces premiers mots.Plantons
tout d’abord le décor. Petite auberge sans prétention, un peu miteuse et rongée
par les rats, perdue dans la campagne Française. Au premier étage, des cris
sourds se font entendre, des cris de femme, comme étouffés par un
oreiller. Car c’est bien le cas, cette
pauvre dame, allongée dans ses draps ensanglantés mords un coussin, pour éviter
de déranger les épaves de poivrots qui se traînent encore au bar, un palier
plus bas. L’enfant est « sorti », mais ce n’est pas Léandre. Cette femme n’est
d’ailleurs aucunement sa mère. Par la porte de derrière, la tenancière,
grisâtre et dodue, sort, essuyant ses mains, encore recouvertes des traces de
placenta, sur son tablier moucheté. Elle approche, entre deux tremblements, un
briquet de la cigarette coincée entre ses lèvres gercées par le froid de
l‘hiver. C’est alors qu’elle aperçoit, éclairée par la faible lueur
incandescente de l’objet, une jeune femme, l’air hagard et à demi-nue,
recroquevillée dans les sous-bois environnant. Sa première réaction fut de
porter une main à sa poitrine et de faire un pas en arrière. Quelque chose chez
cette fille la répugnait jusqu’à la nausée, l’obligeant à s’éloigner pour
échapper à la sensation de révulsion totale. Suite à une poignée de secondes de
réflexion, elle se résonna, et, sortant de son état de léthargie horrifiée,
s’approcha de la pauvre créature. Prenant peur, cette dernière s’enfuit au
travers des troncs massifs. Levant ses bras imposants au ciel, l’aubergiste
marmonna :


- Mais rev’nez ! Rev’nez ! ‘Core une prop’à rin’ … Hé ! Sale
bièt’ !



D’une main impatiente, elle chassa le chat
noir qui c’était logé un peu plus loin sur son muret. Celui-ci n’étant pas
décidé à partir, la vieille femme lui jeta son reste de mégot fumant sur le
museau en marmonnant que c’était un signe de mauvais augure. Mais cette
vieillarde n’est pas celle qui nous intéresse dans cette histoire, jetons un
coup d’œil à la jeune fille découverte quelques temps auparavant …


Qu’est-ce qui a poussé Catherine Badb (vous
l’aurez insidieusement deviné, elle est la future mère de la principale
protagoniste de cette présentation), riche héritière de la petite bourgeoisie
française au goût rance, à se retrouver dans des endroits si peu fréquentables
? Le passé nous le dira.


Catherine n’eut pas une enfance heureuse.
Les cinq premières années de sa vie réussirent, par leurs dorures de béatitude
pleine, à implanter les vis de sa
famille dans l’esprit de l’enfant, tout en la noyant de bonheur puéril et
superficiel. Cependant, elle était
heureuse. Coupée du monde de par cette répulsion immédiate qui touchait ceux
qui l’observaient d’un peu trop près, (sur)vivante dans un cocon familial aussi
étouffant que néfaste pour sa psyché, fragilisée par le manque flagrant
d’interactions sociales. Mais heureuse. C’est à peu près à cette époque que les
choses basculèrent. Mathew Badb avait toujours été d’une santé fragile. Très
vite, on avait détecté des malformations au niveau de sa structure osseuse.
Mais ses parents avaient refusés l’opération, par cette fantaisie chrétienne
qui les poussait à embrasser la croix avant de se lever, chaque jour, en priant
les anges de sauver leur fils de la souffrance par intervention divine. Mais
aucun de ses bellâtres ailés ne se manifesta. Le jour de ses quarante ans,
alors qu’il jouait avec sa fille dans la bibliothèque de la villa d’été, son
corps le lâcha. Les médecins étaient unanimes : Mat’ resterait immobile jusqu’à
la fin de ses jours. Le traumatisme le rendit muet, et avec le temps, son
esprit s’atrophia peu à peu, le privant au fur et à l’usure de toute conscience
personnelle. Eris, sa femme, ne se résigna pourtant jamais à voir son époux
comme la « plante » qu’il était devenu, elle délaissa sa fille pour s’occuper à
« soigner » celui-ci de ce qu’elle appelait «sa fièvre passagère », accusant sa
fille d’être la créatrice de ce mal inexpliqué. Cathy, rejetée à la froide
solitude des murs de sa chambre, « perdit une case », selon l’expression que la
famille entretint.Le temps s’écoula, les névroses de Eris découlant sur le
quotidien de Catherine sous forme de crises de rage, de coups et de réprimandes
toujours plus acides, toujours plus folles.
La petite fille devint une enfant, et d’enfant elle évolua en une
adolescente morose et capricieuse. Un soir, après une dispute on ne peut plus
constructive sur la façon qu’avait de respirer la jeune femme, sa mère fut
prise d’un accès de démence. Attrapant rapidement une chandelle, l’âgée
aristocrate se précipita à travers les couloirs, boutant le feu aux tableaux et
aux papiers peints, brûlant le sol et les escaliers, renversant les statues et
les vases, sa course folle ne s’arrêta pas jusqu’à la chambre de Catherine.
D’un geste habile, elle renversa l’ardent morceau de cire en plein sur
les draps où reposait la jeune femme. Les yeux exorbité, la folle
contemplait la silhouette élancée se lever rapidement et se jeter par la
fenêtre. Jubilant, elle se mit à danser entre les flammes, convaincue que
Mathew était ainsi guéri. Son visage
déformé par la joie cruelle fut le dernier souvenir que garda Catherine de feu
Madame Eris Badb De Clarence. La brûlée erra, battant les fourrés dans une
course folle, ignorant la morsure du gèle sur ses pieds nus, sombrant dans
l’aliénation, se livrant à ses peurs imaginaires pour échapper à l’horreur de
la réalité. Si elle avait perdu une case à la demi-mort de son père,
l’échiquier devait s’être brisé à la vue de cette femme aliénée qu’elle
appelait autrefois maman. Au bout de trois heures de déambulations
effrénées, elle avait distingué de la
lumière faiblarde. Ralentissant, ignorante de ses blessures, Catherine observa
attentivement cette vieille femme aux allures aigries, se croyant
déraisonnablement en sécurité dans l’épaisse obscurité de la forêt. L’inconnue
se tourna vers elle, levant en l’air quelque chose … quelque chose de brillant
… Une Chandelle. Non. L’atroce vision ne pouvait être que … qu’un rêve.
Oui, c’était cela, un rêve. C’était dans l‘autre monde qu’était la vérité. Pas
dans ce cauchemar horrifiant. Convaincue de cette idée, l’adolescente reprit sa
route, cherchant à s’éloigner de ses affligeantes visions en s’éloignant de
cette femme qui la menaçait. Oui. Elle la menaçait. Elle avait vu les traces de
sang sur ses mains. Elle avait tué sa fille, comme sa mère l’avait tué, elle.
Alors, elle était morte. Mais comment cela se faisait-il, si elle pensait ?
Peut-être que la mort l’habitait déjà, mais qu’elle ne s’en rendait pas compte
… Ses idées, sombres mélanges
d’inquiétudes et de raison bancale, furent ses seules compagnes durant son
voyage.


Personnes ne su combien de temps elle était
partie. D’ailleurs, Catherine en était bien la dernière informée, trop occupée
à déterminer si elle était vivante, morte, ou quelque chose entre les deux,
pour se préoccuper de sa survie.


Alors qu’elle traversait le potager d’une
propriété visiblement abandonnée, elle tomba sur le sol, trop affaiblie pour
s’en relever, la névropathe resta avachie dans la boue, attendant … quelque
chose. Ledit quelque chose apparut en la personne d’Aro de Landford IIème du
nom, fils de baron déshonoré, mais néanmoins richissime actuellement en
villégiature dans sa villa française. Alcoolique rentier notoire, Master
Landford venait de perdre sa femme dans un accident de lustre, sans intérêts
pour lui. Une femelle était une femelle, bonne à l’amour physique et à la
succession, rien ne l’importait plus que d’avoir une silhouette féminine dans
son lit, quelle qu’elle soit. Alors, dans cette période de « vide affectif »,
cette demoiselle visiblement affamée, tête enfoncée dans ses choux, était une
aubaine. Sans hésiter une seconde, il la
prit sur l’épaule et l’entraina dans sa maison.Après lui avoir administré un
bain énergique et quelques questions qui ne trouvèrent pas de réponse, il la
mit au lit et prit connaissance de cette étrange Eve un peu plus en
profondeur.Trois mois passèrent. Catherine s’évertuait à s’enfermer dans un
muet silence, ce qui ne gênait pas plus que ça Aro, heureux de cette austère
présence tant qu’elle restait prêt de lui jusqu’à la nuit. Puis, à force de
sourires et de cadeaux, la langue de la dame se délia. Elle lui narra
l’extravagante histoire de la fée des glaces, qu’une Darcy (ce qu’Aro comprit
comme une sorte de Harpie aux fouets de feu) avait agressée dans son sommeil.
Celle-ci, mortellement blessée, c’était changée en licorne pour s’enfuir sur les nuages de glace de la
forêt noire. La manière dont elle s’était tordue la cheville en tombant d’un
nuage, comment elle avait reprit sa forme humaine et qu’elle avait vu fondre sur elle la Deppelgengër de la Darcy
(une espèce de souvenir projeté par magie, selon Catherine, mais celle-ci
insistait bien sur le fait qu’il s’agissait d’un être matériel, capable
d’exécuter les ordres du sombre monstre). La fée avait donc reprit son chemin,
en larmes, jusqu'au jardin d’Eden où son sang était devenu une robe entre les
bras d’un mage-centaure. Ce dernier l’avait mis dans la rivière d’une Ondine
qui l’avait lavée de ses malheurs avant de se changer en Eros et de la combler
de bonheur.Pendant ses instants de divagation, l’homme l’observait avec
clémence, comme curieusement intéressé par les gémissements plaintifs de sa
femme. Leur existence se déroula ainsi, imparfaite et limitée. Lui, ne voyant
en elle qu’une idiote enfantine qui croyait aux contes pour enfants, Elle,
convaincue que les jardins du château étaient son seul monde passé, présent et
futur. La monotonie de leurs vies n’était pas gênante, et elle apaisait le
tempérament furieux de la Badb. Les jours s’égrenèrent de telle façon jusqu’à
l’heureux évènement. On annonça que le couple allait avoir un enfant. Oh Joie !
Oh Miracle ! Nul ne fut plus ravis de se savoir parents que les Landford’s. Aro
y confondait une survie de la fortune, Catherine une lueur salutaire. La
grossesse lui fit énormément de bien. Son esprit détraqué sembla s’équilibrer
avec les rondeurs de son ventre, elle en vint même à vouloir retrouver son
ancienne maison. Revoir sa mère, parler à son père. Comme oublieuse des
souffrances passées. Le maître de maison devinait que ses espoirs étaient
futiles, mais il n’était pas assez dépourvu d’affection pour ne pas lui passer
ce caprice. La clarté inhabituelle de ses iris généralement ternes lui donnait
espérance de retrouver cette Catherine lucide qu’il n’avait pas connu, mais
qu’il avait apprise à désirer. Le jour de l’enfantement arriva et Cathy fut emmenée
à l’hôpital. L’accouchement se passa bien, en silence, selon les volontés de la
maman. Les choses se déroulèrent facilement, l’enfant atteint la lumière du
monde après à peine vingt minutes de travail. Irradiante de béatitude,
Catherine le plaça sur son sein en murmurant les mots qui ont marqués le début
de cette histoire :


-
Léandre … Ethan … de Landford



C’était commun, son mari lui avait bien
fait comprendre, mais la jeune femme n’avait pas cédé. Son enfant serait banal,
les lumières néfastes du monde de défiance qu’elle avait connu jadis ne se
poserait pas sur lui. Ainsi, il serait protégé, à l’abri des regards
inquisiteurs et désireux de l’extérieur. Tandis qu’elle considérait d’un œil
mental critique ce mot qui était pour elle une entité vindicative des rumeurs
passées, le médecin qui lui avait ôté le nouveau-né des mains revenait dans la
chambre, l’air grave de celui qui a quelque chose d’aussi agréable à dire qu’un
litre de jus de citron l’est à boire. Il s’approcha de la patiente, roucoulant
dans les bras de son amant, et lui dit, affligé :


- Désolé, Madame, mais votre enfant soufre de dimorphisme … de la
trachée, ce qui coupe sa respiration et …



- Vous voulez l’opérer c’est ça ? Fit
l’heureuse mère en souriant d’un air entendu et naïf.


- Non … Vous ne comprenez pas. Nous n’allons pas l’opérer parce
que … ce n’est plus nécessaire …



- Non … Non
… Vous …
, commença l’hospitalisée avant de se taire brusquement, la
tête penchée, un œil fermé, l’autre
exorbité, … Non … Vous … Non… Il n’y a plus d’éléphants …


- Pardon ? S’étonna le pauvre docteur, confus.


- Il les a tués …


- Qui a tué quoi, ma chérie ?, s’alarma le père.


- L'Irisson … il a tué les éléphants jaune parce que
la Darcy les a mangés … la Darcy … c’est elle … Elle qui a arraché les épines
de l’hérisson … Il faut … Il faut que je l’aide à nettoyer …



Brusquement, Catherine Earnshaw se releva,
arracha ses perfusions, se dirigeant vers la porte avec une vigueur de
désespérée. Affolés, des infirmiers essayèrent de l’attraper sous les ordres
fébriles du docteur Hareton, perturbé de l’impact qu’avait eut sa
déclaration. La délirante se débattit …
peu … trop éprouvée par les efforts de la parturition pour se soustraire à
l’emprise des hommes musclés qui la compressaient à l’aide de leurs épaules
imposantes. Elle finit par éclater de rire entre deux sanglots, se laissant
choir comme une misérable poupée de chiffon broyée entre leurs mains. Ses yeux
étaient redevenus terne. A cette heure, elle était plus elle-même qu’elle ne
l’avait jamais été. Aro n’avait pas tardé à partir, au devant de cette scène,
il en avait vu suffisamment pour comprendre que Catherine ne sortirait jamais
de ces « problèmes ».Derrière la porte qu’il venait de franchir, une infirmière
baissait les yeux sur le petit Léandre, lui remettant correctement le bracelet
qu’on avait inversé avec un autre gamin, mort-né quelques minutes avant.
L’infirmière anonyme sourit, songeant que ses parents seraient sans doute ravis
de le savoir en vie. Elle n’aurait put mieux se tromper …





Et voilà l’enfant, devenu grave et
presque homme, devant un colossal portail de fer de l’école de sorcellerie
anglaise, la pluie battante rendant ses traits plus sombres que d’ordinaire (ce
qui n’est guère facile). Sa vie revenant à ses idées comme dans la bile au fond
de sa gorge.


Il avait été internée dans un orphelinat
anglais sous la direction de Nany Mytccis (d’après son nom anglophone, on avait
trouvé préférable de la mettre là-bas, où les registres présentaient le passage
d’un certain « de Landford » quelques temps auparavant, espérant
ainsi que des parents la retrouveraient, peut-être), après avoir été élevé
pendant ses trois premières années dans la nurserie de l’hôpital qui l’avait vu
naître. Il n’y avait pas beaucoup d’amis, les marmots trop effrayés par les
ragots marmonnés au sujet de son ascendance peu harmonieuse pour chercher à le
connaître. Il n’en souffrait que la
minorité du temps, persuadé que les vacances de ses parents s’achèveraient dans
quelques jours. Les jours étaient passés. Puis, il songeait qu’ils devaient
être retenus, l’affaire de quelques semaines, tout au plus. Les semaines
étaient passées, les anniversaires aussi. Alors, il se disait qu’ils devaient
aider des enfants dans le besoin ou quelque chose du genre, et qu’ils
viendraient le chercher dans quelques mois. Les mois étaient passés. Les années
avaient suivi. Et l’enfant s’était résigné à oublier ces géniteurs, acceptant
leur mort hypothétiquement glorieuse, avec tristesse. C’est à cette occasion
que l’enfant découvrit sa passion, dans laquelle il allait se jeter corps et
âme : le théâtre. C’était une façon d’éviter les dégâts de sa propre vie dans
celle d’une autre, créée pour le peuple, dans le centre d’art malfamé à une
centaine de mètres de l’immeuble de l’orphelinat. On lui trouvait du talent,
mais la bizarrerie de son caractère ne favorisait pas la sympathie des
moniteurs à son égard, exaspérés par son comportement si peu enfantin. Implicitement,
cela forgea en lui une impression de défiance à la vue des autres, le forçant à
mentir, souvent sans raison particulière, juste parce qu’il se sentait mieux
derrière un voile de faux qu’exposé nu sous les feux de la vérité. Catherine
était alors réapparue, libérée de l’isolement par un psychiatre encourageant.
Et un peu trop optimiste. Elle était enchantée de voire ce gamin qu’on disait
être son fils, et n’hésita pas à lui arracher une poignée cheveu pour s’assurer
de sa réalité, un sourire peu avenant aux lèvres. C’est à cet instant qu’il lui
avait déclaré :


- Je suis revenue pour toi …


- Oui … De ta … mission …


- De
ma … mission ? répéta la vieille en fronçant les sourcils


- Oui … En Inde … Nany Mytccis m’a raconté …


- Tu
veux parler de l’autre …


- Pardon ?


- Oui
… de l’autre … l’autre monde …


- Le monde de l’Orient, tu veux dire ?


- Non
… le monde … tout pareil à celui dans lequel tu vis … mais en mieux … viens
avec moi, je vais te montrer …



Elle lui avait agrippé le poignet, la
trainant difficilement à travers le couloir, vers la fenêtre ouverte au bout de
celui-ci. Le reste était un peu confus pour lui, des silhouettes s’étaient
interposées et avaient emmené sa … « mère », loin de lui. A cet instant, le
Landford comprit. Les rumeurs que lui contaient les autres enfants (qui ne
semblaient guère torturés par les remords d’écouter aux portes de la Nany en chef)
étaient donc fondées. Il était le fils d’une folle. Un renégat, forcément.
Léandre s’était donc échappée de sa « prison ». Implacablement assuré que les
fautes de sa mère l’atteindraient dans les heures qui suivraient, inévitablement.
Rien de tel ne se passa. Il déambula dans les rues de Londres, heurtant des
passants, trébuchant à chaque pavé. Fredonnant pour masquer ses inquiétudes,
l’enfant avait pénétré dans une ruelle sombre et sale. Quelques minutes
s’étaient écoulées et … il avait relevé la tête et fait demi-tour. Pourquoi ?
Qu’y avait-il vu … entendu ? Peut-être rien … Mais sans aucun doute, il ne le
vous dira pas. Pas plus du pourquoi chaque nuits, il trace un bête trait sur
son carnet noir.


L’adolescent secoua la tête, écartant ses
souvenirs douloureux. Maintenant, il allait tout reprendre depuis le début.
L’homme qui était venu le chercher douze heures plus tôt n’était pas très
bavard, mais il avait déduit que
l’endroit où il le conduisait n’était pas … « normal ». C’était bien. Il
n’était pas « dans la norme ». Les « nany ‘s » avaient fini par comprendre que,
si elles ne voulaient pas voir des choses qu’elles n’auraient pas désiré voir
(vous voyez ?), il valait mieux ne pas laisser un crayon à la portée de cette
étrange créature bien sombre depuis qu’il avait eu la « chance » de rencontrer
sa mère.


Enfin, il ne faut pas le plaindre. Léandre
était heureux, là-bas, dans ce bloc gris qui lui servait de maison. Ne
connaissant que cette vie pour juger du principe de ravissement. Mais une chose
lui assurait un petit bonheur qui faisait toute la différence. Dans une des
salles du grenier, il y avait un petit
piano noir, recouvert de poussière, un tout petit piano. Difficilement, il
avait appris à en jouer, seul, avec maladresse et en fausses notes, mais
c’était sa fierté. Avec le temps, sa technique c’était affinée, mais personne
n’avait le droit d’entrer dans cette pièce quand il jouait. Les dirigeantes l’
écoutaient, parfois, la nuit, mais dès qu’un bruit se faisait entendre dans le
couloir, la mélodie en Si bémol majeur s’arrêtait nette. Encouragée par Nany
M’, qui, prise de compassion pour le petit musicien, lui donna de vieilles
partitions qu’il arrangea à sa façon, Léandre prit de plus en plus de plaisir à
cet exercice. Debussy, Mozart, Beethoven
et tous les autres lui apparaissant comme des amis à qui il se confiait à
travers les touches.A la fois agacés et fascinés par ses concertos
nocturnes, les membres du comité de
direction décidèrent unanimement de la faire intégrer la Guildhall School of
Music le plus vite possible, pour qu’il y progresse librement. Quatre ans après
qu’il ait touché l’instrument délabré pour la première fois, on le conduisit
donc au vieil amphithéâtre de la ville pour y passer des auditions. Sa mémoire
s’estompa alors qu’il clignait furieusement des yeux. Il voulait oublier ce qui s’était passé.
L’incendie de la scène, la fumée … partout, l’obscurité, les visages torturés,
la douleur … Tout. Effacer cet après-midi où il perdit l’usage de ses mains.
Les difficiles séances d’entrainement pour en retrouver le contrôle partiel.
Renvoyer aux enfers d’un geste de la tête cette mélodie qui marquerait ses
nuits à tout jamais. Cette mélodie qu’il avait joué avant que les flammes ne
l'encerclent, qui l’avait suivie alors qu’il se traînait jusqu’à extérieur, qui
avait rythmé ses cauchemars pendant deux ans, deux ans d'errances à travers le
manoir des Perks, qui l’avaient reccueilli … Jusqu’à ce que cette lettre
arrive.


Le jeune homme plissa les yeux. Caché dans
l’ombre, l’inconnu, qui venait d’ouvrir la porte, l’observait, et lui dit tranquillement :





- Tu es prêt à en finir avec ton ancienne vie ?


- Toujours aussi mélo’, Darren …





Hochant la tête, il entra dans
l’établissement d’un pas raide …





Caractère et Physique


Caractère



Léandre ne cherche pas à plaire
ou à séduire. Il montre aux autres ses défauts en premier, estimant que ceux
qui ne vont pas chercher plus loin que les apparences n'ont aucun intérêt à
être connus. D'un premier abord, il passe donc souvent pour quelqu'un
d'hautain, de mesquin, de méprisant, de capricieux et de fainéant. Ce qu’il
est. Mais il est néanmoins un peu plus que ça. Il est travailleur mais ne reconnaitra
jamais qu'il passe des heures à la bibliothèque ou à potasser ses cours : il
préfère laisser croire qu'il obtient ces résultats par facilité ou par caprices
que par son travail. Déterminé, il est prêt à tout (ou presque) pour arriver
jusqu'à l'objectif qu'il s'est fixé. Même si beaucoup le prenne pour un jeune
homme superficiel, c'est loin d'être le cas. Bien que Léandre déteste les
cancans de l’internat, que pourrait-il faire de savoir qui sort avec qui après
avoir largué un tel qui, de toute façon, la trompait avec une autre ? (Il
méprise donc réellement un bon nombre de ses camarades, qui, pour lui, sont
réellement superficiels et creux.), mais il déteste encore plus qu’on le prenne
en pitié. Que se soit pour ses crises de nervosité face au feu ou par ses
doigts bizarrement tordus, bien malchanceux celui qui s’imagine la regarder
d’un peu trop près.
Quelques
petits défauts du garçon
: Léandre
est parfois un peu impulsif, mais parvient souvent à se maitriser. Il réagit
alors à une attaque par une répartie froide et simple, plutôt que de foncer
tête baissée. Très gourmand, le jeune sorcier raffole des barres pralinées, du
chocolat chaud et de plein d'autres douceurs cacaotées. Assez solitaire,
Léandre n'aime pas qu'on l'ennuie quand il a besoin de se ressourcer et de se
retrouver seule, à dessiner sur son bloc-note ou à noter tout ce qui lui passe
par la tête. A ce titre, ne vous avisez jamais de toucher à son précieux
calepin, il vous le ferait payer tôt ou tard.

En 5 mots : Réservée, Pyrophobe, Mythomane,
Rancunière, Perfectionniste.


Physique



Pour les autres enfants,
il était un laideron étrange et maigrichon dépourvu de particularité, banal et
sans intérêt. D'un point de vue personnel, il vit très bien son physique. Ses
yeux fauves ocres illuminent son visage quand il sourit (notons, que depuis
quelque temps, cela arrive rarement). Parfois, une lueur de malice, plus ou
moins bienveillante selon la circonstance, les traverse (chose beaucoup moins
rare). Son visage est fin et allongé. Il n'aime pas son nez, trop rond et
imposant à son goût. Ses cheveux sont courts, souvent en bataille. Quand il
fait beau, il n'est pas rare que le soleil fasse miroiter de légers reflets aubrun-miel
dans son épaisse chevelure châtain. Normalement, ses cheveux sont raides et
indomptables, mais depuis sa plus tendre enfance, il passe le plus clair de son
temps face à un miroir à se brosser fiévreusement les mèches. N’ayant pas eu de
figure matriarcale suffisamment clémente pour lui enseigner l’art de se
coiffer, on pourrait dire qu’un séjour chez le coiffeur ne serait pas
dérisoire. C'est un jeune homme dans l'ensemble souriante, soit d'une façon
radieuse éclairant alors son visage de toute la joie de vivre qui l'anime, soit
d'une façon plus pincée et narquoise, ne dissimulant en rien qu'il se moque de
vous. Profondément atteint du syndrome de Peter Pan, il lui arrive souvent de
bouder, affichant une petite mine confite et triste comme si il avait été
profondément blessé, mais ce n'est la plupart du temps qu'une ruse de sa part
pour s'attirer la sympathie de son interlocuteur (enfin, il arrive parfois
qu'il soit réellement blessé, mais, ça, lui seul le sait, ou presque...).
Léandre n'est pas d'un tempérament sportif (pas au sens être un membre actif
d'une équipe), il préfère les promenades en balais ou à cheval : il peut passer
des heures à se promener seul ou accompagné, à se laisser charmer par le
silence et la nature qui l'entourent. Bref, tout ça pour dire que son physique
est assez svelte et musclé. Le jeune homme n'est pas très grand, 1.73m pour 51
kg, mais il est plutôt bien proportionné. Niveau vestimentaire, il aime porter
des jeans et des T-shirts sobres, sans coquetterie. Il apprécie aussi les
tenues BCBG un peu décalée, moins rigides que décontractées. Bien qu'il ne
suive pas la mode, il prête attention à toujours avoir une apparence
soignée.






Autre chose ?





WAAAAAAZAAAAAAAA
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Léna Taylor
GryffondorLéna TaylorGryffondor

Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." Empty
MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 14:45

Bienvenue Siiiiimon Smile
Ton personnage est assez intriguant ! ^^
Enfin, on imagine bien ou tu va aller ^^
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Choixpeau Magique
Choixpeau Magique
Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." Empty
MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 15:05

Mmm … Intéressant … Mais avec toi pas la moindre hésitation …

SERPENTARD
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 15:31

Merciii Léna =D (oui, trois "i", parce que tu le vaut bien =°)

Quant au Choixpeau ... bah, lochique =°, si tu me mettais chez les Plusd'souffle, j'allais porter plainte pour diffamation au Magenmagot et tu aurais fini ton existence de chapeau rapiécé (très très gratifiante, notons-le) aux côtés d'une chaussure dotée d'un oeil dans un des tiroirs de l'armoire à disparaître =° Je te suis donc très obligé de cette aimable contribution à mon chantage =D

Et, mes chers Slytherins ... Sortez la vodka, Léandre débarque *-* !
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 15:51

Mdr, tu as raison mon cher Léandre, je mérite minimum trois i !
Tu as raison de ne pas vouloir aller chez les Pouffy ! Tu n'imagine même pas ce qu'il ramasse là-bas mdr ^^
Sois le bienvenue chez les Serpy !! N'abuse pas de la vodka !! mdr Smile Wink
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 15:54

Bienvenue à toi, ô cher Serpentard *.*

Dis, tu partage ta Vodka avec une Sepry trop mimi ? =° <3
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 15:58

Oo' Comme si on avait pas assez de fou sur ce forum Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 16:09

Une Serpy' est forcément trop mimi, pas besoin de préciser =° Quant à la vodka, quelle coule à flot dans les cachots pour tous *o*

Ruth ~> Merci de ce chaleureux accueil =D Bah être fou c'est pas si mal =° Et puis, la camisole, ça se customise et ça tiens chaud l'hiver =o
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 16:21

[OH YEEEAAAAH DARREN CRIIIIIIIIIIIIIIISS !!!! ♥♥♥]

Oh...J'adore...*O* ! Cette description est parfaite ! ♥
(Bien qu'un peu trop sur la droite xD)

Je voudrais aussi faire remarquer que toutes les 'Catherine" sont cinglées ! Peut importe l'écriture de leur nom !

Mais bienvenue ! ♥

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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 16:27

Bienvenue Wink
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 16:34

Putain, Simon, t'es grave en gérance *o*.
Et Serpentard, qui plus est *-*.
Ouais, j'maintiens, t'as presque autant la classe que moi ♥
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 16:37

Léandre: Y'a pas de quoi, ça vient du fond du cœur ♥️ Oui, bah justement, tu es actuellement sur le terrain de jeu de fou du bocal, alors, attention Wink
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 18:22

Une présentation plus que parfaite OO!

En plus tu...olala, tu as pris Darren Criss quoi *.*♥

Amber te souhaite la bienvenue (: ! Même si elle sait d'avance qu'on vous vous entendrez jamais à mon avis XD

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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyMer 24 Aoû - 19:49

Mon égo a une fois de plus été flatté *.*

Ah ah, moi je m'entendrai bien avec Twisted Evil
A moins que ce soit encore un Mathéo T.T
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyJeu 25 Aoû - 6:54

Ta préfète te souhaite la bienvenue dans la noble maison des vert et argent !

Puissent nos caractères dépravés s'accorder et ton nom faire honneur au grand Salazard...

(Même si ce dénommé "Darren Criss" dont j'ignorais l'existence n'est pas à mon goût XD - Oui, lynchez-moi, mesdemoiselles, j'm'en fous j'aime bien !)
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MessageSujet: Re: Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..."   Léandre ; "Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais, Darling ..." EmptyJeu 25 Aoû - 7:06

Piouf ! Je suis fière de moi! J'ai tout lu.
Très bonne présentation bien qu'un peu trop longue à mon goût.
Mais c'est peut être ce qui fait son charme!

En tout cas je te souhaite la bienvenue !
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