Requiem for a prophecy
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Requiem for a prophecy

Forum RPG basé sur le dix-neuf ans plus tard de la saga Harry Potter
 
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 Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2)

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AuteurMessage
Loki Laufeyson
MinistèreLoki LaufeysonMinistère

Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) Empty
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Loki Laufeyson

Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) The-Deep-Blue-Sea-tom-hiddleston-26810231-500-267

♣ Carte d'identité ♣

• Âge : 28 ans
• Race : Reptile
• Patronus : Pingouin
• Baguette magique : 34,5 cm en bois de rose et plume de phénix
• Orientation sexuelle : Bisexuel
• Situation matrimoniale : Célibataire
• Profession : Co-directeur du bureau des relations internationales du Ministère de la Magie
• Qualités : Distingué, ambitieux, malicieux, ingénieux
• Défauts : Sournois, froid, hypocrite, asocial, impulsif, irresponsable, amoral, traitre, injurieux et mauvais joueur
• Don : Fourchelang / se métamorphose en humain à volonté.
• Particularités : Pupilles verticales sous forme humaine, menteur pathologique
• Avatar : Tom Hiddleston
• Personnage à un quart inventé

♣ Vos papiers, s'il vous plaît ♣

Physique & Caractère :
Il me semble que les gens me prennent encore pour un adolescent à peine sorti du lycée. Un peu moins quand je laisse pousser ma barbe pour me donner un effet mal rasé. Est-ce à cause de mon sourire enfantin, dévoilant de ma bouche aux fines lèvres deux rangées de petites dents blanches ? Ou à ma coquetterie assumée ? Il est vrai que j’aime modifier mon apparence humaine pour donner un rendu sous mon meilleur jour. Le changement opère surtout au niveau de mes cheveux, tantôt ébène, lisses et soigneusement peignés, tantôt châtains, bouclés et dans un désordre néanmoins maîtrisé. Pas dans mon style de vêtements, cependant : je n’ai pas l’habitude de suivre les dernières modes, qu’elles soient d’origines moldues ou sorcières ; je préfère de loin le style communément appelé « classy », mais un peu vintage anglais, quand je ne porte pas de confortables t-shirts larges, ce que je réserve à mon chez-moi douillet, un studio chic situé au cœur de l’atmosphère cosmopolite de Londres, à mi-chemin entre les plus grands bâtiments administratifs du Royaume-Uni sorcier et un des plus importants quartiers commerciaux de l'Angleterre moldue.
J’aime mon corps mince et un peu trop grand, mes fossettes qui se creusent à la moindre esquisse de sourire, mes pommettes un peu rosées sur mon visage au teint pâle qui se renforcent au plus petit pincement de lèvres, mon aspect malicieux. Cependant, mon front qui se plisse en une multitude de rides, surtout lorsque je suis soucieux, ajoute à l'expressivité traître de mon visage. Mes sourcils, aussi, s’inclinent trop vers mes tempes, ce qui me donne un air triste, même si cela semble s’ajouter à mon charme. De plus, mon nez plonge un peu exagérément, selon moi, et mes yeux sont constamment cernés, notamment à cause de la surcharge de travail que m’impose souvent mon emploi.
On m’a tout de même souvent dit que j’étais mignon. Si je le nie systématiquement, ce n’est pas par fausse modestie, non. Ni d’ailleurs par modestie tout court. J’ai simplement appris à regarder le monde avec mes yeux bleu glace aux pupilles étranges, fermés sur les différentes possibilités qui m’entourent, ne prenant pas le temps d’évaluer l’entrecroisement des chemins de la vie des diverses personnes posant un pied sur le mien. Oh, bien sûr, je pourrais m’attacher à quelqu’un plus que d’ordinaire. Mais pourquoi ? A quoi me servirait une existence dans laquelle je ne serais pas libre ? Je veux pouvoir vivre indépendamment des autres, sans me soucier de personne ; je doute de toute façon que quelqu’un daigne éprouver le contraire pour moi. N’impliquer nul autre que moi dans mes choix. Ainsi, la froideur est de mise avec tout le monde, au premier abord en tout cas. Être distingué s'impose tout de même, ce qui me donne l'air d'être quelqu'un d'inatteignable. Les rares personnes qui ont réussi à outrepasser ce trait de caractère dérangeant, qui constitue en soi une barrière infranchissable pour beaucoup, ont rapidement, par la suite, mis à jour les tréfonds de mes pensées. Cependant, et heureusement pour moi, ces personnes, envers qui je voue une loyauté sans faille, contrairement aux autres, se comptent sur les doigts d’une main.
Pour terminer, beaucoup ont choisi de vivre sans s’encombrer des faux-semblants. Pas moi. En effet, mon but n’est pas de me dévoiler au premier venu ; je n’imagine même pas les conséquences que cela pourrait avoir dans mon entourage, au Ministère notamment. J’ai travaillé dur pour parvenir à un des postes les plus élevés que propose l’institution à un âge aussi jeune, en ayant recours à des capacités d’analyses et d’esprit aiguës, à la si redoutable hypocrisie et, à défaut, à la sournoiserie, qui ne me gêne nullement tant que je ne m’empêtre pas dans celle des autres. Je ne compte néanmoins pas en rester là, et je vise toujours un poste plus haut, qui serait enfin à la hauteur de mes ambitions.
De l’autre côté, néanmoins, je voue un véritable culte à l’Empereur Kvasir, qui me tient d’ailleurs en haute estime, à un tel point que je pense pouvoir me déclarer sans détours comme son serviteur le plus fidèle. Etant le seul à ma connaissance à pouvoir me parler sous forme reptilienne, je lui obéis aveuglément et lui ai donné ma confiance absolue, il y a bien longtemps de cela. Je suis heureux de ce traitement de faveur, qui s’est ainsi propagé à tous les Mangemorts, ou presque. Le double-jeu que j’ai mis en place au Ministère y est d’autant plus simple à accomplir, et certains de mes camarades ont réussi à y avoir une place de choix, eux aussi.

« Loki est beau et splendide d'apparence, mauvais de caractère, très changeant dans son comportement. Plus que les autres êtres, il possédait cette sagesse qui est appelée rouerie, ainsi que les ruses permettant d'accomplir toutes choses. »
— Gylfaginning, chapitre 33



Histoire

« Loki, mon chéri, réveille-toi ! Il est déjà presque l’heure de manger ! »
La voix enjouée aux accents septentrionaux de ma mère me réveilla subitement. Les yeux bouffis de sommeil et ébloui par le soleil, je marmonnai quelque supplication pour qu’elle referme les volets qu’elle avait remontés d’un coup de baguette : hier soir, nous avions invités un collègue de mon père, ainsi que sa famille. Ils s’étaient attardés plus que prévu. « Fils, dans le milieu professionnel, tu n’as pas le droit à l’erreur. N’essaie pas de te faire des amis inutiles ; si tu noues les bonnes relations, l’ascension sera plus rapide et moins fastidieuse », avait-il répondu d’un ton détaché quand j’ai fait part à mon père de son mépris habituel pour cette famille qui avait passé la soirée et une bonne partie de la nuit dans notre domicile. Toujours, des leçons. Avec lui, même la question la plus anodine se transforme en de longues heures de cours sur la façon dont se comporter avec les sorciers issus de différentes classes sociales, sur l’actualité des mondes moldu et magique, ou encore sur les sujets habituellement abordés au collège tels qu’une potion particulièrement complexe pour des élèves de notre âge, une plante ou un animal encore méconnu ou un enchantement difficile à réaliser. Heureusement, ma mère est souvent là pour rappeler à son mari que sa place n’est pas celle de tuteur et qu’il doit juste se contenter de m’aimer. D’autres sont là pour m’apprendre à bien me comporter et mon père est déjà assez souvent occupé pour me voir sans m’inculquer ses valeurs dont je n’avais rien à faire.
Mes parents se sont rencontrés il y a bien des années, lors du mariage arrangé entre leurs parents. Ma mère, Frigga, est une magicienne mettant ses talents à profit : aidant les futures mères dans leur grossesse, elle est aussi voyante talentueuse à ses heures perdues. Quant à mon père, Odin, il est un magicien extrêmement puissant, adulé par un groupe de Moldus, à la peau aussi pâle que moi et aux cheveux aussi blonds que ceux de mon cher frère, qui se sont mépris sur son compte.
« - Hveðrungr, hur många gånger jag sagt dig?! Tiden har till stor del gått! [Loki, combien de fois t’ai-je dit de te lever? L’heure est largement passée!]
- Ja, ja, mamma…Vänligen vänta lite… [Oui, oui, maman… Attends encore un peu…]
- Inte. Få upp nu. [Non. Lève toi maintenant.]
- J’arrive… »
J’émergeai doucement du sommeil, me frottai les cheveux, trop longs, et roulai sur le ventre. Quand ma mère m’appelle par mon prénom scandinave, je sais que ça devient sérieux. Surtout quand elle se met à hurler en suédois comme elle vient de le faire. Pour éviter de retomber dans le sommeil si profond qui me caractérise, je me mis à penser à ma journée à venir : j’attendais un hibou de mon ami Nathanael, qui tardait à me répondre, ce qui me frustrait particulièrement. A force de divagations, mes pensées se perdirent au loin. Je songeai à mon frère, le si parfait Thor, et trouvai en la jalousie que je lui vouais la force de me lever, puis de me préparer avant de descendre.

Quelques années plus tard, mes parents m’apprirent la vérité sur ma nature. Un serpent. Oui, j’étais un serpent géant issu des pires cauchemars des enfants, ne parlant que la langue reptilienne sous cette forme. Cette annonce formulée sur un ton formel de la part de mon père me dévasta et me troubla au plus haut point. Je ne savais plus où j’en étais ; tout ce que j’avais vécu était-il donc faux ? Etait-ce un rêve ? Pourquoi ne m’étais-je jamais métamorphosé jusqu’à présent ? Les interrogations se bousculaient dans ma tête, qui assimilait trop d’informations. Je ne réussis à rien d’autre qu’à me mettre en colère contre mon père, qui me l’avait caché pendant tant d’années, contre ma mère, qui s’évertuait à me consoler en piaillant de tous les côtés, contre mon frère, le beau et valeureux vrai fils d’Odin, contre le monde, qui n’avait voulu que mon malheur depuis ma naissance. Je m’enfuis de chez moi, voulant à tout prix rester seul. En tout cas, éviter la compagnie de mon horrible frère. Je me rendis aux confins des lieux où j’étais autorisé à me rendre, me roulai en boule à même l’herbe fraîche et éclatai en sanglots. J’étais si jeune, et mon destin maudit était déjà scellé. Des méfaits et de la douleur, voilà tout. Je ne pouvais pas me résigner.
Et puis il est arrivé. Il m’a parlé si doucement, comme le vent chuchote entre les arbres, qu’il a effacé la tristesse de mon esprit. Sa voix m’était si agréable que j’avais envie qu’il ne s’arrête jamais de me parler. Je l’ai écouté, mais ses paroles n’avaient aucun sens pour moi. Alors, il effectua un mouvement étrange et j’ai senti la transformation opérer. Mes mains sont devenues rugueuses, et mes pieds indissociables. Mes yeux n’offraient plus le même panorama. Je ne bougeais plus comme avant. Je sentais la panique gagner lentement mon cœur, qui s’affola. Mais il reprit la parole, d’une voix si apaisante que je sus que rien ne pouvait désormais me séparer de lui. Je compris enfin ce que les susurrements signifiaient. « Va, mon Loki, obéis-moi ; sois mon serviteur et aide moi à créer un monde nouveau où tu aurais enfin ta place. ». A cet instant précis, j’aurais fait n’importe quoi pourvu qu’il en soit satisfait. J’avais enfin trouvé un port d’attache à cette vie ridiculement mal tracée : puisque je ne pouvais pas dépasser Thor aux yeux de mes parents, je serais le premier à ses yeux à lui. En rentrant chez moi, mon père crut lire dans mes yeux le pardon que je lui avais accordé ; il n’en était rien, ma colère avait, au contraire, atteint des proportions sidérantes. Mais la voix doucereuse de l’Empereur Kvasir, au fond de mon âme, me chuchotait de patienter, qu’un jour leurs crimes odieux envers moi seront punis.

Adossé à mon lit, assis par terre, je revins à moi et sentis une larme couler sur mes joues pâles. Je n’avais jamais revu Nathanael ; un Mangemort l’a assassiné peu de temps avant la rentrée de notre sixième année. C’est mon père qui me l’avait annoncé, et malgré ses efforts pour se contenir, je me souviendrai toujours du plaisir que j’ai éprouvé à la vue du regard déchiré qu’il m’avait adressé. J’ai obtenu mes ASPIC à peu près aussi brillamment que mes BUSE deux ans auparavant, et trouvai facilement, grâce au nom de mon père, un emploi au Ministère, où je travaillais toujours, dix ans plus tard. Avec le retour officiel de l’Empereur et la guerre ouverte entre ses partisans et les FSI, le double jeu que je menais devenait plus difficile à mettre en place, mais rien n’était impossible pour mes qualités de menteur confirmé. Je me passai en soupirant la main dans mes cheveux, aujourd’hui encore un peu trop longs pour moi et songeai que ma vie n’avait pas toujours été aussi morne et routinière que maintenant. Il fut en effet un temps où je profitais de tout ce que la vie pouvait m’offrir, et me demandai si je ne pouvais de nouveau pas recommencer. J’étais si las, à même pas trente ans.
Je rêvais que je transplanais devant la porte de ma vraie maison, de mon foyer, et que le sourire émerveillé de ma mère venait m’ouvrir. C’est vrai, pourquoi ne pouvais-je plus être heureux, simplement et naïvement, comme autrefois ? Pourquoi ne pouvais-je pas oublier tous mes malheurs et recommencer depuis ce misérable jour où je me suis réveillé trop tard ?



♣ Toi, sans caractéristiques magiques ♣

• Prénom ou pseudo : An’ An’ (Anaïs, sinon)
• Âge : 17 balais, avec toutes les rides, toossa
• Comment as-tu connu le forum? J’avais un gentil perso qui a disparu aux tréfonds du dossier « RPG » de mon ordinateur…
• As-tu des doubles comptes ? : Nope
• Veux-tu être parrainé(e)? : Je crois pas…
• Un petit mot ? : ♥

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Loki Laufeyson
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MessageSujet: Re: Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2)   Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) EmptyMar 2 Oct - 16:41

Voilà voilou les amis, j'ai terminé (IL ETAIT TEEEEEEEEEEEMPS RAAAAH) ma nouvelle fiche (: Comme vous pouvez le constater, j'ai pas mis en page.. Oui c'est moche ET ALORS Mad mais vu le MAAAGNIFIQUE rendu des codes (Je dois être maudite hein, y a que ça) c'est toujours mieux comme ça (au moins c'est lisible.) =) !
Donc, euh, voilà xD ah oui, je crois que je dois aussi m'excuser pour ce double post >_>
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Invité
InvitéAnonymous
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MessageSujet: Re: Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2)   Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) EmptyJeu 11 Oct - 12:55

Re-Bienvenue Loki.
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Loki Laufeyson
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MessageSujet: Re: Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2)   Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) EmptyJeu 11 Oct - 17:09

Re-merci Aiyana ! ♪
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Summer Diland
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Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) Tumblr_mmw3pjLmUG1r981zpo6_250


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MessageSujet: Re: Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2)   Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) EmptyDim 21 Oct - 13:16

Re Bienvenue Lokiiii :B <3
*-*

"Loki est beau et splendide d'apparence", je sais pas pourquoi mais ça m'a fait rire x)
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Loki Laufeyson
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MessageSujet: Re: Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2)   Loki Laufeyson — « De là vient que nous appelons la poésie "le sang de Kvasir". » (Skáldskaparmál, chapitre 2) EmptyDim 21 Oct - 17:44

Merci Sum'Sum' ♥
Je sais pas non plus pourquoi t'as trouvé ça drôle, même après avoir relu la phrase 50 fois pour essayer d'y trouver un petit truc comique xDDDD
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