Suite du rp Summer/Mathéo : https://harry-potter-world.forumsrpg.com/t844-mission-de-la-plus-haute-importance-summer-matheo#12718


Contact physique. Elle avait touché son ventre pour vérifier les dires de Mathéo. Elle trouvait son ventre un peu flasque. Il le toucha à son tour. N’importe quoi, son ventre était très bien quand même. Ok, il n’avait pas les tablettes de chocolats digne d’un grand athlète. Mais bon normal, s’il fallait seulement se taper des filles pour être musclé, tous les mecs coucheraient en permanence. Il continuerait son jogging, tous les matins, tant pis. La conversation portait maintenant sur Rebecca. C’était drôle, il n’avait plus reparlé à personne de cet événement depuis des mois. Mais ça faisait du bien d’en parler à Summer. Mais bien sûr, c’était sans doute la dernière personne qui défendrait la Serdaigle mais tant pis. Le tout était de se vider l’esprit de temps en temps.

- Tu sais, tu ne méritais pas ça Mathéo, mais je pense qu'il est préférable que tu l'oublies. Et je ne dis pas ça parce que ... Ouais bon ok, j'pense qu'il est inutile que je me justifie. J'la déteste.

Oui elle la détestait, mais d’un côté, elle n’avait pas tellement tord. Ce qu’elle avait fait était tout bonnement impardonnable. Et elle fallait qu’elle comprenne qu’il y avait des choses qui ne se faisaient pas, surtout à l’un de ses amis. Mais la Serdaigle n’avait juste tout bonnement pas la notion d’amitié. Elle avait l’habitude d’avoir que des ennemis ou des proies, et elle n’assimilait surement pas quand elle devait se montrer sympathique avec des gens. Peu importe, elle se retrouverait seule un jour à cause de ça. Et peut-être que ça lui ferait du bien.

Mathéo se demandait ce que Rebecca avait pu faire à Summer mais finalement c’était assez facile à deviner. Elle lui avait peut être simplement lancé des piques méchants ou l’avait humilié en public. Chose que la Serdaigle savait faire mieux que personne. Les seuls fois où il fallait encore plus s’inquiéter, c’était quand elle ne répondait pas à la provocation, cela voulait dire qu’elle préparait un coup bas encore plus cruel. Le jeune homme savait tout ça à force de l’avoir trop côtoyé pendant ces dernières années.


*Bah maintenant, tu vas pouvoir prendre des vacances, mon pote.*

Le jeune homme lui avait annoncé qu’il ne jouait pas avec les jouets de son frère. Elle crut bon de lui préciser que ce n’était qu’une blague. Bon ça va, il avait mis un moment mis il avait finalement compris, il n’était pas complètement neuneu quand même. Mais bon, c’était ça leur relation, des piques et de l’humour provocante en permanence. C’était assez reposant à vrai dire. Et puis ça permettait d’améliorer sa répartie.

- Et .. euh .. tu m'excuseras mais je n'aime pas être ... matérialisée. Je ne suis pas un objet .. ou une barbie inerte, en mode étoile de mer.

Alors Mathéo fut pris dans un fou rire incontrôlable. Elle ne comprit surement pas pourquoi cette réaction soudaine. Mais Mathéo, lui, n’en pouvait plus. Il n’arrivait vraiment pas à s’arrêter de rire. Tout simplement en référence à une scène d’Aaron quand il était petit. Il se souvenait que leur parent leur avait acheté des barbies quand ils étaient petits. Et que déjà à cet âge le jeune enfant préféré jouer avec les mâles. Mathéo consentit à expliquer le pourquoi de son fou-rire à Summer. Après tout, si elle était avec, elle avait bien le droit d’en connaître d’avantage sur son mec.

– Bon ce qui me fait bien rire, c’est que tu crois que je t’ai considérais comme une barbie. Et puis j’ai repensé à Aaron qui préférait jouer avec Ken quand il était un gosse.


*Ca a l’air moins drôle dit à voix haute quand même.*

Bref, peu importe, on s’égarait quand même vachement du sujet principal. Allé chercher les cartes chez la Lauréana. Mathéo avait proposé une idée pas mal, pour faire diversion. Mais visiblement la jeune fille en avait une aussi. Il fallait l’écouter maintenant pour voir ce qu’elle valait. Elle marquait un point, la Marina n’en aura rien à foutre de ses seins.

- Ou alors, tu te fous torse nu, tu danses du tango, et paf, le tour est joué, pendant que moi je vais chercher tes foutues cartes. Ce n’est pas une bonne idée? Et en prime, tu remues tes petites fesses.

– MAIS C’EST TROP UNE BONNE IDEE !

Bon Summer s’attendait surement pas à une réponse comme ça venant de la part de Mathéo mais elle devait s’estimait heureuse après tout, il était d’accord avec son plan. Le jeune homme prit la main et l’entraina avec elle pour monter à l’étage du bureau de la sous-directrice. Ils se cachèrent tous les deux derrière un pan de mur. Tandis que Mathéo commença à quitter sa chemise. Il la lança à Summer.

– Tiens cadeau.

Dit-il à la Poufsouffle avec un sourire aux lèvres. Et oui Mathéo était vraiment complètement tarée de croire qu’un plan de la sorte allait marcher. Il regarda si la voie était libre. Visiblement, il n’y avait pas beaucoup de passages. Il se tourna vers Sum à nouveau, et la regardait comme s’ils allaient jouer leur vie.

– Bon on est d’accord. Je rentre je fais diversion, toi tu rampes jusqu’à son bureau et tu les récupères, elles sont dans le tiroir tout en bas.

Le jeune homme lui fit un clin d’œil et commença donc à partir en direction du bureau. Il frappa doucement à la porte et entendit un son s’élever de la pièce. Cela voulait surement dire entrer. Il ouvrit donc la porte torse nue. Se dirigea vers Lauréana qui venait de se lever et commença à lui prendre la main pour danser le tango. Enfin, il put faire deux pas avant qu’elle se détache de son étreinte. Elle était débout, regardant Mathéo, comme si c’était un malade mental, sans dire quoi que ce soit pour le moment.


*Allez Sum, a toi de jouer, c’est le moment.*

Le plan de la jeune fille n’avait pas franchement marché pour ce qui était du Tango. Elle n’avait pas l’air d’apprécié du tout et s’était dégagé très rapidement de son étreinte. Elle le regardait maintenant de haut, comme si elle avait devant elle, un abruti fini. Et Mathéo, lui, comme un idiot, ne pouvait pas arrêter de sourire, tellement la situation le faisait rire. Mais ce n’était peut-être pas le bon moment pour rire parce que la Lauréana n’avait vraiment pas l’air d’humeur à plaisanter. Non mais franchement, relax meuf, fallait avoir un peu d’humour dans la vie. Mais tout le monde n’en avait pas autant que Mathéo ou même Summer.

– Moreno, qu’est ce que vous fichez dans mon bureau à moitié nu ?

Le jeune homme mit la main devant la bouche pour empêcher son gloussement de sortir. Il ne voulait quand même pas se faire doublement engueulé. En riant, il allait sans doute aggraver encore plus son cas. Bref comment lui expliquer la vrai raison pourquoi il était dans cette tenue dans son bureau. Franchement, le jeune homme se voyait mal lui dire que c’était pour récupérer ses cartes quoi. Le jeune homme espérait fortement que Summer allait avoir assez de temps pour les récupérer parce que malgré tout, il aurait sans doute du mal à retenir la folle Lauréana.


*Bon pour la retenir, tu compte lui faire un striptease maintenant ?*

Ah ouais pourquoi pas un striptease, ça pourrait être marrant. Et puis il s’était pas mal entrainé cet été, il serait au top maintenant pour le faire devant la Lauréana. Bon ca va, il est mongole mais pas à ce point quand même. Le jeune homme essayait de rester impassible mais en pensant à Summer qui était en train de ramper sur le sol, c’était quand même assez dur de garder son sérieux. Le jeune homme entendit un bruit. Oups c’était surement Sum’, et Lauréana semblait l’avoir entendu aussi. Le jeune homme improvisa vite pour ne pas qu’elle y fasse attention et qu’elle se re-concentre sur lui.

– J’aime bien le sexe en fait.


*QUOI ? Mais t’es con ou quoi ? C’est vraiment la première chose qui t’es venu à l’esprit ? Espèce de tarée ! On devrait vraiment t’empêcher de parler.*

Elle ignora superbement ses paroles mais elle semblait avoir arrêté de penser au bruit, et le regarda dans les yeux d’un air réprobateur. Ce regard était vraiment pire que des paroles. Mathéo regarda ses chaussures. Elles étaient belles quand même. Bref, il fallait remonter les yeux vers elle. Il fallait l’affronter sinon ils allaient se faire prendre tous les deux.

– L’année dernière, vous vous battiez maintenant, vous passez à l’exhibitionnisme, mais qu’est ce qui ne tourne pas rond chez vous ?

Se battre. C’était un grand mot quand même. Il s’était juste accroché une ou deux fois avec Wood, c’est tout. Et puis, l’autre l’avait cherché. En plus, cette pouf les avait consigné pendant un mois alors il avait payé sa dette. Cette année, il ne faisait pas de l’exhibitionnisme. Cet été, à la rigueur. Mais là, il avait juste eu … chaud. C’était quand même une excuse des plus pourries, enfin bon.


*Et comment tu comptes t’en sortir maintenant ?


– Vous avez des problèmes ? Un besoin irrépressible de vous faire remarquer ?


*Pff connasse … T’as un besoin irrépressible de faire chier toi.*

Qu’est ce qu’il ne fallait pas entendre quand même. Et puis il n’avait pas du tout de problèmes. Celle qui avait des problèmes, c’était elle. Qu’est ce qu’elle faisait ? Elle bougeait. Non.NON. Summer allait se faire prendre si elle bougeait, il fallait qu’il l’en empêche. Mais trop tard, elle était devant la Poufsouffle qui rampait sur le sol et se cogna aux jambes de la sous-directrice.


*ET MERDE.*

Elle demanda à la jeune fille ce qu’elle fichait puis ordonna aux deux de s’assoir. Le jeune homme ne se fit pas attendre et s’assit tellement vite qu’il en loupa de peu la chaise. Tombé sur le sol, il se releva le plus vite possible et s’assit cette fois-ci sur la chaise. Mathéo était vraiment au bord de craquer et de rire. Il essayait de se contrôler mais c’était assez dur, surtout dans une situation comme celle-ci.

– Expliquez-vous tous les deux.

Et là, Mathéo éclata de rire. Il ne put se contrôler. Cette situation était vraiment trop amusante. Se retrouver devant la sous-directrice parce qu’il avait essayé de faire une mission commando. Non mais franchement, il y avait vraiment de quoi rire. Ce qui était quand même beaucoup moins drôle c’est qu’il allait faire couler la pauvre Summer avec elle s’il continuait ainsi. Alors Mathéo essaya d’arrêter de rire et se tut pendant quelques instants en se mordillant les lèvres.


*Abruti va, pauvre Summer quand même. Etre dans la même pièce qu’un boulet.*

Le jeune homme arrivait à se calmer petit à petit mais comment s’expliquer sincèrement. Ou du moins trouver un mensonge plausible. Mathéo avait pu le voir à plusieurs reprises qu’il était vraiment nul en improvisation. Sur le coup, il comptait sur Summer. Mathéo prit une inspiration pour commencer à parler mais visiblement la Marina avait elle aussi envie d’intervenir.

– Et ça vous fait rire Moreno ?

– Assez oui.

Mais tais-toi un peu. Mathéo ou l’art de s’enfoncer quand on est déjà plus bas que terre. Et puis Marina n’avait pas l’air d’apprécier tellement.

– Bref, Sum va vous expliquer.

Dit-il avec un grand sourire en se tournant vers sa camarade.


*Jeté dans la cage aux Lions, ma pauvre Summer.*

Bref, il avait laissé la Préfète des Poufsouffle gérer la situation. Ca pouvait être perçu comme un coup bas mais c’était mieux pour tout le monde. Elle savait mieux parler que lui à vrai dire. Et mieux mentir surement, enfin ça ce n’était pas très compliqué. Le jeune homme n’avait jamais su utilisé l’art du mensonge. Tout le trahissait dés qu’il voulait camoufler la vérité. Bon vu le regard noir de Summer, elle n’avait pas compris que c’était pour leur bien à tout les deux. Mathéo se pinça les lèvres. Il allait re-craquer à nouveau. Mais c’était terrible de devoir contrôler un fou rire quand la seule chose que t’avais envie de faire c’était de rire tout simplement.


*Contrôle-toi Mathéo, Summer est préfète, ça craint pour elle.*

Oui c’était vrai, il allait essayer de ne pas tout gâcher. Parce que si Mathéo s’en fichait des heures de colles. Summer pouvait risquer de perdre son poste de préfète. Et le jeune homme ne voulait pas que ce soit par sa faute. Parce qu’après tout, c’était lui qui l’avait entrainé dans cette situation et c’était également par sa faute qu’ils s’étaient fait prendre. Bref, il avait tous les tords pour lui, et elle pouvait très bien le dénoncer pour se venger.

– Et bien .. vous allez très certainement trouver cela absurde mais pourtant c'est la vérité. Mathéo tel que vous le voyez, souffre en ce moment d'une dépression causée notamment par la perte de l'une de ses meilleures amies : Mademoiselle McMillan.


*HEIN*

Pis n’importe quoi, il s’en fichait de Rebecca. Il était bien mieux sans elle. Et puis il n’était pas fou, il ne faisait pas de dépression à cause de cette garce quand même, il lui en fallait plus. Au pire s’il avait dit à cause d’Amber. Mais puis, il en fallait plus pour qu’il se sente mal. Il avait eu juste envie de faire des conneries aujourd’hui à point c’est tout. La perte d’une amie. Ca va elle est pas morte non plus. Summer en faisait beaucoup. Genre il était trop triste, pleuré toutes les nuits, limite s’il fallait pas le border.


*Tu me fais passer pour une tapette là, mec*

– Je suis même pas dépréssionné, d’abord.


*Ta gueule Mathéo.*

Il avait dit ça à voix basse. Mais ça n’avait pas empêché Summer de lui lancer un regard aussi noir que les cheveux de la Lauréana. Bon tais toi Mathéo, il valait mieux laisser les gonzesses parler ensemble. Il n’interviendrait pas. Enfin seulement si la jeune fille ne disait pas trop de conneries. Fallait pas qu’il devienne un débile taré aux yeux de Marina. Enfin c’était déjà fait mais bon. Les deux étaient quand même dans un sale pétrin. Et Mathéo avait la mauvaise impression qu’à chaque phrase on rajoutait, ils s’enfonçaient d’avantage. Et elle continua donc à parler sur sa « dépression » inventée. Que les cartes étaient les seules choses qui l’aimaient encore. Qu’elles venaient de sa grand-mère décédée. Il porta sa main à sa bouche pour ne pas exploser de rire devant ses dires. Qui pouvait raconter autant de conneries à la fois quoi. Elle était douée. Trop douée.

- Je redoutais votre réaction, et il est vrai que j'aurais du vous demander la permission, cela aurait évité toute cette agitation menant à la confusion. Et pourquoi toute cette mascarade? Et bien, j'ai tenté de dissuader Mathéo de réaliser ce plan qu'il avait en tête depuis quelques temps, mais il n'a pas voulu m'écouter, je me suis donc vue dans l'obligation d'intervenir, et d'aller chercher moi même ces cartes qui lui sont si chères.

Et là, malgré le coup de pieds qu’il venait de recevoir, le jeune homme ne put s’empêcher de rire à nouveau faisant perdre ainsi toute crédibilité à Summer par la même occasion. Pauvre Summer, elle n’avait quand même pas de chance de se retrouver avec un tel boulet. Mais il n’en pouvait plus. Il avait la tête posé sur le bureau, entre ses bras. Et il rigolait. Il continuait, malgré qu’il avait tout les regards posé sur lui, et surement celui de la Lauréana rouge de colère.


*ABRUTI VA*

Mais il ne pouvait pas s’arrêter. Toutes les conneries qu’ils avaient dites depuis tout à l’heure, lui revenaient dans l’esprit. Et comment arrêter de rire quand on réfléchit à toutes ces péripéties. Le jeune homme souffla pour essayer de se calmer mais rien n’y faisait. Finalement tout en se mordillant les lèvres pour arrêter, il se calmait peu à peu et retrouva son calme. Il leva la tête et se retrouva nez à nez avec le visage de la Lauréana qui faisait peur, vraiment très peur.

– Je suis contente que la situation vous fasses rire, Moreno, mais je vais vous passer l’envie de rire vous savez, ainsi qu’à vous Mademoiselle Diland également.


*Oups*

– Bon allez, on se détend. Summer n’a rien en fait, elle m’a aidé parce que je l’ai menacé tout à l’heure. Franchement, vous pensez qu’une préfète aurait une idée aussi sordide dans la tête.

Il n’en revenait pas tellement il avait l’air convaincant. Par contre il savait qu’il allait en prendre plein la gueule. La Lauréana ne le louperait pas, il le savait. Elle ne l’aimait pas, parce qu’elle avait trop souvent affaire à lui dans ce genre de situations. Il faisait trop de conneries pour être apprécié de la direction, voilà tout.
Il s’était sacrifié parce qu’il savait que Summer tenait beaucoup à son poste de préfète et que ce serait idiot qu’elle le perde pour une si bête histoire. Et puis c’était bien de sa faute tout ça de toute façon. Il voulait aller récupérer les cartes, il avait choisi la façon de le faire, il s’était fait repéré, il l’avait fait repéré. Tout était de sa faute et il fallait qu’il paye. Et puis lui de toute façon se fichait éperdument des punitions tant qu’il n’était pas renvoyé. Alors peu importe, adviendra ce qu’il adviendra.

– Très bien, vu que vous voulez porter seul la responsabilité de toute cette histoire, vous serez le seul puni.


*Sans blague.*

– Donc si on récapitule, vous avez menacé une élève, vous êtes entré dans mon bureau en exhibant votre torse nu, vous avez laissé une jeune fille vous protégé et puis vous vous êtes moqué de tout le monde en prenant tout à la légère. Vous êtes d’accord avec ce que je dis.

– Oui.

– Donc, comme vous vous en doutez surement, vous serez punis. Tous les soirs pendant une semaine, vous irez en retenue, vous expliquerez vous-même à votre capitaine de Quiddicth pourquoi vous ne pouvez pas assister aux entrainements. Vous vous occuperez également de l’entretien des toilettes des garçons pendant une semaine également.


*Connasse.*

– Vous êtes d’accord avec cette punition ?

– Parce qui si je dis non, vous allez me l’enlever ?

– Très intelligent l’insolence surtout quand on est dans votre position. Mois 20 points à Serpentard. Maintenant disparaissez tous les deux.